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JEANNE MAXIME GANDERATZ
(1799-1892)


Elle est née à Tarbes le 16 octobre 1799, d'une lignée prestigieuse de petite noblesse où, depuis le XVIIe siècle, l'on fait carrière militaire comme son oncle Pierre (1717-1777) , ou religieuse comme son oncle Paul, prieur de Bussières, chapelain de Sainte-Catherine à Tarbes, chanoine de Meaux, chantre de chapelle du Roi, chapelain ordinaire de la chapelle de Madame Adélaïde, sœur du Roi Louis XV.
Elle épouse le 22 octobre 1818 Dominique François Artiguenave (1782-1875), avoué et juge de paix à Tarbes, issu d'une famille de bourgeoisie terrienne. Elle donne naissance à cinq garçons qui s'illustreront dans la magistrature ou la marine.

Jean-Jacques Hyppolite (1819-1898), brillant magistrat de Tarbes, fait ses études à Paris. Inscrit au barreau de Tarbes, il y est nommé juge en 1859, vice président en 1863. Ses idées monarchistes l'entraînent dans le mouvement d'épuration de la magistrature, il est mis à la retraite d'office en 1883. Son intégrité étant reconnue par tous, certains républicains s'indignent contre cette mesure . Après une longue vie, elle décède le 10 janvier 1892.

 

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Source: Archives municipales ( Monique Certiat )